Alors que depuis deux ans la loi ALUR a été décrétée, il reste encore plusieurs décrets à promulguer. C’est également le cas de la Commission de contrôle des professionnels de la transaction et de la gestion.
D’après la loi, les particuliers devaient avoir un jugement immédiat, n’incluant aucun frai et de réparation dans le cas où un litige naissant avec un agent immobilier ou un administrateur de biens.
Il faut dire que cette mesure jouera un rôle important, car plusieurs consommateurs doutent des agents immobiliers et les administrateurs de biens. Les professionnels ne sont pas à mesure de se sanctionner eux-mêmes quand l’un d’entre eux fausse le jeu.
Il est vrai le fait de travailler dans le logement demande une importante intégrité.
Le CNTGI (Conseil national de la transaction et de la gestion immobilière) a œuvré pour proposer un rapport au gouvernement sur le contenu du code de déontologie suivi par les ministères de la justice et du logement. En gros, toutes les conditions pour installer la Commission sont réunies et au bout de six mois, rien n’est fait. Certains parlent du financement pour lancer l’instance qui n’a pas encore été trouvé.
Or il est impératif de créer des mesures via la loi pour améliorer la relation entre les français et les professionnels de l’immobilier.
Commentaires fermés pour cause de spam